Nymphéa.

Moi, je suis l'incorrigible. Celle dont vous entendrez parler, je serais connue pour tous ems exploits ! Vous verrez, vous apprendrez... Ce que je suis, c'est l'imaginable ! La non fatigue en personne ! Je serais l'enquiquineuse qui vous suivra partout & qui criera au monde entier que je vous adore, que vous soyez sadique ou non. Il est difficile de me comprendre ici, mais rapidement, en me voyant vous me direz que vous êtes d'accord avec moi. Je suis la minie tigresse infatigable qui s'amuse à faire des mimiques dans votre dos & à mordiller votre queue pendant que vous dormez paisiblement. Je suis le tigron au féminin, qui a les yeux pétillants de malice, qui vous demandera votre chaleur corporelle en hiver, qui vivra sous votre pitié mais aussi, celle que vous allez aimer le plus...
( Parce que je le vaut bien. )

Description physique :
Jamais de votre vie vous n'allez voir pareil créature ! J'étais la plus petite de ma portée mais presque la plus active. J'ai besoin de bouger sans cesse, c'est une de mes caractéristiques qui me fait défaut. Mais revenons à ma description. Je suis une bouille d'ange, avec un petit regard malicieux qui vous suit partout où que vous allez. Je suis un chaton frêle qui aime votre protection mais aussi jouer avec vous car c'est la seule chose que je veux, c'est m'amuser mais ne soyez pas étonnés des mes petits coups de griffes & de dents, c'est tellement plus drôle avec !
( uh, je sais ça ressamble pas fort à une description physique, mais passons. )

Histoire : (10 lignes minimums)
Bon, je vais pas vous faire un grand schéma sur toute ma vie qui n'a duré, pour l'instant, que neuf mois. Bon, pour faire long, je suis née dans une portée de cinq tigrons. Il y avait Truc, Muche, Bidule, Machin et ensuite, moi. Ne nous égarons pas trop, le plus important c'est moi évidemment. Je suis restée avec ma mère, mes frères & mes soeurs pendant le plus clair de mon temps. Comme tout petit tigre, je jouais avec eux. On s'amusait à mordre les oreilles & la queue de maman, ainsi qu'à la faire rager tellement on l'embêtait. Au finale, elle nous répimandait & nous disait d'aller jouer plus loin, ce qu'on faisait rapidement ! On jouait alors avec une pierre qui roulait, on se mouillait dans le fleuve près de chez nous, on observait les singes qui nous pissaient dessus & qui criaient à tue-tête. Aussi, je m'amusais parfois à les poursuivre, sans grande conviction. Ils faisaient sans cesses des va-et-vient sur les branches & n'arrêtaient pas de nous nargués mais on était bien obligés de laisser tomber l'affaire au bout d'un moment parce que maman nous appellait, parfois inquiète.
Il fut un jour où elle nous interpella pas & où nous l'oubliâmes tous autant que nous sommes mes frères, mes soeurs et moi. Mais le soir venu, on se rendit rapidement compte que quelque chose n'allait pas. Maman n'était plus de ce monde...

- - -